La simplification du LPC décidée par Vincent Peillon accentue encore l’inefficacité du LPC en tant qu’outil d’évaluation des élèves. On est désormais très explicitement dans le « faire semblant ».
Celui-ci n’est maintenu que pour éviter l’effet domino et la mise en danger de ce socle commun tant aimé par Vincent Peillon et son prédécesseur.
Quelle est précisément la situation sur le terrain ? Pour y répondre le SNES Créteil lance un (très bref !) questionnaire en ligne auprès des établissements. Plus les réponses seront nombreuses, plus nous pourrons porter dans les médias et auprès du ministère notre refus du LPC et du socle commun.