Mise à jour : Lundi 17/06 : pour défendre le bac, rassemblement intersyndical-associations, rendez-vous à 14h, rue du bac, angle boulevard St Germain/boulevard Raspail ! (métro ligne 12 – rue du bac)
Depuis des mois, les personnels avec le SNES-FSU se mobilisent : grèves, adresses via les médias et les réseaux sociaux, manifestations le samedi avec les parents, nuit des lycées, occupations de collèges, interpellations des élus, actions médiatiques, etc….
Le Ministre reste sourd à nos revendications, et ne les a traité qu’avec mépris voire pire : la création de l’observatoire des salaires (!) a été annoncée le 7 janvier ... renouvelée dans les mêmes termes le 2 juin !
C’est pourquoi, avec une intersyndicale large, soutenue par diverses associations et le principal syndicat lycéen, nous appelons à la grève le 17 juin prochain, premier jour du baccalauréat : https://www.snes.edu/Appel-unitaire...
L’appel intersyndical à la grève le 17 juin (SNES-FSU, SNUEP-FSU, SNETAP-FSU, CGT, Sud, SNALC, CNT ; avec le soutien d’associations et collectifs : Stylos Rouges, Chaine des Bahuts, l’APSES (association des professeurs de SES), l’UNL (Union Nationale des Lycéens)
Lettre au Ministre : courrier du SNES-FSU annonçant la journée de grève, https://www.snes.edu/Greve-du-premier-jour-des-examens.html
Le courrier du SNES-FSU exigent des mesures concrètes pour nos salaires : https://www.snes.edu/Des-mesures-concretes-pour-les-salaires.html
Lettre aux parents d’élèves : modèles de lettres à télécharger et à adapter si besoin à la situation de votre établissement pour expliquer les actions prévues
tract du Snes Créteil :
tract lois Blanquer Dussopt
Le cadre juridique particulier de la grève du 17 juin (réquisitions, etc.) Retrouver la note juridique en ligne : https://www.snes.edu/IMG/pdf/greve-exam-juridique-2.pdf
FAQ sur la grève du 17 juin, ses suites, la réquisition et autres appellations :
Le SNES-FSU, avec l’intersyndicale, a fait le choix d’annoncer la mobilisation bien en amont du début des épreuves pour que le Ministre prenne la mesure de ce qui se joue. Il s’agit bien d’envoyer un signal fort, bien avant l’examen, en plaçant le Ministre face à ses responsabilités : s’il est bien celui qu’il prétend être, il doit sans plus tarder ouvrir les négociations sur les salaires, conditions de travail, et stopper ses réformes. La balle est dans son camp, s’il ne la saisit pas, il sera responsable de toutes les perturbations qui pourraient se faire jour le 17 juin, premier jour des épreuves du baccalauréat.
Nous publierons en fin de semaine sur cette page, les communiqués des établissements mobilisés.